Ça n’est déjà pas si facile pour les compositrices, mais quand en plus on attribue à leur frère un manuscrit qu’elles ont écrit, cela devient vraiment infernal.
Même quand leur frère n’y peut vraiment rien non plus.
À lire dans le numéro 5 des Cahiers Maria Szymanovska.
Version telle que dans les Cahiers
Vous pouvez aussi accéder ici à la partition et à un enregistrement.